Avant de vous présenter quelques articles sur les origines de notre civilisation, il nous faut aborder dans cet article l’état d’esprit des tenants des théories officielles.
En effet, en comprenant la mentalité fermée et sclérosée de ceux qui érigent les versions officielles, vous comprendrez pourquoi l’information sur les origines de notre civilisation et les pyramides d’Égypte ne circulent pas abondamment dans les médias alors que les faits, artefacts et constructions sont là…
Vous comprendrez également pourquoi il n’y a pas de place aux explications alternatives. Et pourtant, l’information est là à nous attendre depuis des millénaires.
Et si tout ce que l’on croyait était faux ?
Si pendant des siècles la majorité des gens se pliaient aux “Vérités” inculquées à l’école sur les origines de la civilisation, il y a cependant un type de chercheur qui a émergé depuis quelques dizaines d’années sur toute la planète : le chercheur de vérité.
Et la raison est simple : plus le temps passe et plus nous retrouvons des artéfacts, des constructions et d’autres objets qui sont en totale contradiction temporelle et/ou technologique avec “les théories officielles”.
Oui, il est bien écrit théories officielles car pour certaines d’entre elles, ce que nous avons appris dans les livres ne sont que de belles histoires sorties de l’imagination de quelqu’un sans aucune preuve pour les étayer… En gros, ce sont des pures inventions.
Prenez l’histoire de l’Égypte par exemple :
Nous avons tous appris que les pyramides ont été construites par des centaines de milliers d’esclaves poussant des blocs de pierre sur des rondins de bois afin de construire les pyramides.
À aucun moment on ne met l’accent sur les connaissances architecturales nécessaires pour construire un tel monument car ce ne sont pas juste “des pierres empilées” les unes sur les autres en forme de pyramide.
Les plus grands architectes de la planète disent eux-mêmes qu’ils ne seraient pas capables de refaire un tel exploit. Alors on peut se demander d’où vient cette histoire, sur quels faits, papyrus ou gravures se base-t-elle ?
Eh bien c’est là que vous serez certainement surpris : cette “théorie officielle” n’est basée sur aucun Papyrus, aucun document ou artefact Égyptien racontant le comment, le qui et le pourquoi de ces pyramides. Les responsables du Louvre l’admettent eux-mêmes.
En fait, cette histoire d’esclaves, de rondins de bois vient des dires d’Hérodote (environ -450 avant J.C). Alors qu’il y avait environ 12 sources différentes n’étant pas d’accord entre elles, sur “comment et par qui les pyramides” ont été construites, seule la version d’Hérodote fut retenue.
C’est cette histoire qui est passée de génération en génération et est devenue l’histoire officielle de la construction des pyramides. Pardon, LA VÉRITÉ sur les pyramides !
Ce qui est intéressant c’est que même de nos jours, toutes les autres sources concernant les pyramides sont encore ignorées… Pourtant certaines d’entre elles sont facilement accessibles puisqu’elles reposent dans des musées, notamment au Louvre.
Je pense aux tablettes Sumériennes dont il ne faut surtout pas parler.
Du coup, s’il n’y a pas d’écrit égyptien sur le comment, le pourquoi et le quand de ces pyramides, comment sait-on qu’elles ont bien été construites de cette manière ? Avons-nous essayé de démontrer scientifiquement cette théorie officielle ?
Non ! En fait, pourquoi essayer de prouver quelque chose que l’on SAIT ÊTRE la vérité ? Cela n’a pas de sens ! Bref si les archéologues ne savent pas comment les pyramides ont été construites et par qui, ils savent cependant très bien construire des mythes !
Mais tout le problème que les chercheurs de vérités posent à l’archéologie académique sont les FAITS. Eh oui… Les faits mesurables et vérifiables. Et ils sont légion.
À l’instar d’un enquêteur criminel qui collecterait des faits afin de reconstruire la scène du crime, les chercheurs de vérité font exactement la même chose.
Il faut savoir lire entre les lignes
Quand on s’attaque aux données physiques, géométriques, chimiques, mathématiques, astronomiques, géologiques nous nous retrouvons face à un sérieux problème.
- Comment un peuple soi-disant peu éduqué avec des outils très limités a-t-il construit les pyramides contenant autant de données mathématiques, géométriques, astronomiques ?
D’une part, il y a la construction en elle-même qui est un sacré défi, mais de l’autre les connaissances dans les disciplines énoncées plus haut. S’ils étaient si “primitifs” comment en savaient-ils autant ?
Cette simple question suffit à elle-même pour réévaluer ce que l’on croit savoir sur notre passé.
Si nous avons l’habitude de transcrire notre savoir dans des livres, les anciennes civilisations inscrivaient leur savoir non pas sur des gravures ou des Papyrus, mais dans la structure même de leurs constructions ce qui est encore un sacré défi…
Pour accéder à ce savoir, il faut étudier leurs structures révélant leur savoir. Si vous vous attendez à trouver un cours de maths Égyptien sur papyrus vous risquez d’attendre longtemps ! Qui plus est, construire un monument comme une pyramide permet de résister au temps et de transmettre l’information sur des millénaires…
D’ailleurs, par souci de transmission d’informations sur le long terme, nous avons fait la même chose lorsque dans les années 1973 Carl Sagan construisit cette petite plaque embarquée avec les sondes Pioneer 10 et 11 envoyées aux confins de notre système solaire.
Le but était que si une civilisation extraterrestre trouvait notre sonde, elle pourrait grâce à cette plaque, savoir ou nous trouver dans la galaxie, connaître nôtre physionomie, nôtre biologie, la structure de notre système solaire, la trajectoire de la sonde et même des informations sur nos connaissances atomiques…
Et pourtant si vous regardez cette plaque sans que personne ne vous l’explique, vous ne comprendrez rien. En effet il faut donc un certain degré de connaissance scientifique et un esprit de déduction pour trouver par soi-même la signification de cette plaque !
Pour transmettre toutes ces connaissances ou ses informations, Carl Sagan a utilisé la géométrie et les mathématiques. Autrement dit, le même système que la civilisation qui a construit les pyramides, car la géométrie et les mathématiques sont un langage universel.
C’est pareil en Égypte. Leurs constructions révèlent tout un tas de données comme le nombre d’or, Phi, la vitesse de rotation de la Terre, la vitesse de la lumière, le mètre, et d’autres données astronomiques révélant un message et des connaissances que l’archéologue classique, qui est un littéraire ne comprends pas et ne verra même pas. En fait il ne regardera même pas dans cette direction.
Quand vous leur dîtes que les Égyptiens connaissaient le mètre, on vous rigole au nez en vous disant: “Non c’est impossible car il a été découvert en 1793”, vous voyez le niveau ?
Il y a cette idée de linéarité dans l’évolution de l’espèce humaine : les civilisations les plus lointaines sont les plus primitives, et plus le temps passe et plus ces civilisations évoluent jusqu’à “NOUS les plus évolués”. Conclusion, si NOUS avons trouvé le mètre en 1793, personne d’autre ne l’a fait avant nous…
Enfin… Comme je le disais avant : le problème sont les faits, car les pyramides sont bien là, et résistent aux millénaires, alors que de notre côté avec tout notre génie, si on ne repeint pas la tour Eiffel régulièrement elle tombe en miettes à cause de la rouille en à peine 100 ans…
C’est d’ailleurs pareil pour pratiquement toutes nos constructions : sans entretien, elles se désagrègent en à peine 100 ans selon des études scientifiques…
Avoir un esprit ouvert pour percer les mystères des pyramides !
Avec les pyramides, il faut un esprit ouvert et prendre le temps de reconstruire le puzzle un peu comme pour cette plaque.
Si des extra-terrestres la trouvaient, ils passeraient alors un certain temps pour comprendre que les deux cercles en haut de la plaque représentent les atomes d’hydrogène… (pour ne citer que cet exemple). Une fois trouvé ils en concluraient que si nous connaissons la structure de l’hydrogène, nous avons alors un certain degré d’évolution scientifique, autrement dit, nous ne marchons plus avec des lances et des peaux de bêtes sur le dos…
Alors phénomène étrange, lorsque nous trouvons des tas de données du même ordre dans les pyramides, comme la circonférence de la terre, l’unité du mètre, le nombre d’Or, le nombre Phi, la vitesse de la lumière et des tonnes d’autres mesures astronomiques, électromagnétiques et chimiques, les tenants de théories officielles continuent de nier ces informations…
Autrement dit, quand vous les interrogez sur “comment se fait-il qu’il y ait autant de données scientifiques”, ils vous répondent : c’est dû au hasard.
Alors maintenant inversons la situation et imaginez des extraterrestres après avoir trouvé notre petite plaque dans l’espace, dire à leur peuple :
- Oui bon, sur cette plaque il y a deux atomes d’hydrogène, mais c’est du hasard…
- Oui bon, il y a un système solaire dessiné, c’est du hasard…
- Oui bon, il y a la trajectoire de la sonde et nous l’avons vérifié, mais c’est du hasard…
- Oui bon, il y a la position exacte de leur planète dans la galaxie, mais c’est du hasard…
- Etc…
Cela vous paraît un peu… grotesque non ? Et bien c’est ce à quoi nous sommes confrontés face à toutes ces données scientifiques. Car les données scientifiques sont légion et ce n’est franchement pas ce qui manque.
Voici un dernier exemple. Ils ont trouvé une momie en Égypte contenant de la cocaïne dans les cheveux. Or la cocaïne n’existe pas sur le continent européen mais seulement en Amérique latine. Les analyses ont été refaites des centaines de fois et sur plusieurs momies…
À chaque fois, ils retrouvent de la cocaïne dans leurs cheveux. Alors la question d’un contact entre les Égyptiens et les peuples d’Amérique du Sud se pose.
- Alors, pour les fous, les déjantés, et ceux qui n’y connaissent rien, la question se pose.
- Pour les tenants de la vérité, c’est totalement absurde, car il n’y avait pas de contact possible !
La question est alors : comment le savent-ils? Comment en être sûr ? La réponse est toujours la même : C’est strictement impossible ! En fait, ils n’en savent rien, mais croient que c’était impossible.
Pourtant nous avons retrouvé les cartes de Piri Reis datant du 15e siècle, montrant clairement une carte du monde avec les différents continents. Autrement dit, une map monde comme les nôtres.
Ces cartes sont des reproductions du 15e siècle, elles sont véridiques et le capitaine Piri Reis, dit avoir reproduit ce savoir afin qu’il ne se perde pas. Les cartes de Piri Reis montrent clairement l’Antarctique avec ses côtes et ses reliefs non enneigés.
Hors l’Antarctique est actuellement couvert sous 2 km d’épaisseur de glace. Chose que n’était pas le cas aux alentours de – 11 000 avant J.C ! Les scientifiques sont perplexent !
Y prête-t-on attention ? Surtout pas… car si on recoupait toutes les informations que l’on a à travers tous les musées, on risquerait de devoir changer toute l’histoire.
L’outillage des Égyptiens
Vu que la version officielle estime que les anciennes civilisations étaient un peu primitives, il faut donc qu’elles aient des outils primitifs.
Nous vous présentons les 2 outils fondamentaux des bâtisseurs des Pyramides:
On veut donc nous faire croire que tous les esclaves avaient ce genre d’outils, et qu’avec cela ils ont construit la 7ème merveille du monde d’une précision ahurissante, contenant tous un tas de données scientifiques, géométriques, astronomiques, le tout grâce à la chance !
Ce qui est intéressant, c’est que ces outils supposés utilisés par les Égyptiens durant 3000 ans ont été retrouvés en faible quantité et n’ont pas évolué dans le temps. Autrement dit, nous avons affaire à une civilisation qui construit une des 7 merveilles du monde mais qui n’a pas l’intelligence suffisante pour faire évoluer ses outils sur une période de 3000 ans… ?
C’est un peu étrange tout ça. Il suffit de regarder l’avance technologique entre le 15ème et 18ème siècle en seulement 300 ans… Même au moyen âge, les épées, les armures et les flèches étaient de plus en plus performantes. Donc au moyen-âge on progresse, mais en Égypte non.
Mais alors pourquoi y a-t-il un tel blocage concernant les origines des pyramides et les origines de notre civilisation ?
Car nous n’avons pas affaire à une attitude scientifique mais à des croyants. Nous sommes face à des archéologues qui par leur éducation on apprit par coeur “une histoire” qu’on leur a racontée sur les bancs de l’université et répétée de génération en génération.
On ne leur a pas appris à remettre en cause ou à réfléchir à ce qui leur est proposé, mais à apprendre par coeur l’histoire qui a été écrite il y a longtemps par d’autres personnes.
Et comme tout le monde répète la même histoire de génération en génération, cela doit être vrai ! Un peu comme à l’époque… si tout le monde disait que la terre était plate, c’est que c’est vrai !
Vous voyez un peu le niveau… ?
Mais le point important ici est de comprendre que toutes ces convictions et croyances ne sont basées que sur la répétition d’un savoir inculqué et non sur l’expérimentation personnelle. Autrement dit, on est face à des gens qui vont refuser tout alternative à leurs convictions, car pour eux ce n’est pas “vrai”, ou “possible” car cela ne cadre pas avec ce qu’on leur a appris.
Vous imaginez un archéologue apprenant que tout ce qu’il croit savoir, que tout le temps qu’il a passé à étudier des textes est en fait complètement faux ? C’est un choc impensable pour eux.
Le chercheur de vérité lui, va simplement collecter des faits, les mesurer, les analyser et obtenir des données scientifiques afin d’essayer de comprendre cet immense puzzle que sont les origines de notre civilisation et les pyramides d’Égypte.
Face aux données du moment il en émergera une théorie que le chercheur de vérité sait fragile, car elle sera très certainement modifiée lorsque de nouveaux monuments, données, artefacts seront trouvés. Il ne reste donc pas accroché à sa vérité, mais émet des théories à la lumière des faits dont il dispose.
En effet le puzzle se complète au fur et à mesure que l’on retrouve toujours plus de données, monuments ou artefacts. Autrement dit, l’histoire du passé est en constant réajustement en fonction de ce que l’on retrouve. Il y a ce que l’on croit, et ce qui est.
Le problème avec l’archéologie académique est qu’on veut nous faire croire que la vérité (dans les grandes lignes) a déjà été établie. Qu’elle est immuable. Seuls quelques mystères subsistent encore sur leur mode de vie, certaines pratiques, mais rien de bien important en somme.
Or tout chercheur sait que l’histoire s’écrit au fur et à mesure des découvertes.
Voici pourquoi nous sommes face à des gens qui sont plus attachés à préserver leurs croyances et à leur sécurité qu’à trouver la vérité. Ils préfèrent défendre une absurdité que de réévaluer l’histoire.
Car l’absurdité ici est bien de proliférer une histoire qui n’est basée sur aucun fait, aucun écrit et aucune preuve archéologique Égyptienne et n’a jamais été vérifiée.
La signification des faits retrouvés
La deuxième raison à ce blocage de la part de bon nombre de scientifiques et archéologue est la signification de ces données retrouvées. Elles remettent en cause non seulement ce que l’on pensait savoir de nos origines, mais la signification de l’humanité et sa place dans l’univers.
Elles remettent en cause toute notre façon de voir les choses, la vie, l’organisation de nos sociétés, notre mode de compétition, d’éduquer nos enfants etc…
En fait lorsqu’on se penche un peu sur ces données on se rend compte qu’à l’époque (bien avant les pyramides et les Sumériens) les gens vivaient bien plus en harmonie avec la nature. Ils avaient un mode de vie vraiment avancé mais qui respectait l’être humain, la nature et les animaux.
Autrement dit, ils vivaient de manière diamétralement opposée à ce que nous faisons maintenant. Et cette découverte fait peur, car elle ébranle toute notre manière de voir la vie. Qui plus est, elle montre également que nous ne sommes pas si “avancés” que cela.
Du coup cela remet un peu les choses en place. On passe du statut de la civilisation la plus avancée, à une civilisation avancée mais pas si maline que cela, car elle passe son temps à détruire son propre environnement au nom du progrès.
Et ça, c’est vraiment trop dur à accepter pour des personnes qui sont rigides mentalement. En plus de cela, et pour terminer l’article, il faut comprendre également que dans les “hautes sphères”, il y a tout un tas de pressions. Autrement dit si vous êtes un archéologue classique et que vous vous intéressez d’un peu de trop près aux théories alternatives, vous avez souvent de gros problèmes avec votre métier.
Vous n’obtenez plus de financement, vous pouvez être complètement délaissé par l’université qui vous soutenait jusqu’alors etc…
Crédit photos & infos: La révélation des pyramides & Les bâtisseurs de l’ancien monde de Patrice Pouillard. Liens vers le site officiel : Les bâtisseurs de l’ancien monde
Intéressant, mais attention de ne pas diriger vers des liens de “fake news” comme celui-là:
https://worldnewsdailyreport.com/smithsonian-admits-to-destruction-of-thousands-of-giant-human-skeletons-in-early-1900s/
qui dirige sur un site ouvertement satirique et second degré.
Cela ne sert pas vraiment vos propos.
Merci c’est corrigé !
Un article très pertinent sur lequel je suis entièrement d’accord